Au cours du week-end, ma femme et moi avons expérimenté le pouvoir magique d’un avion à piston léger pour ajouter des heures à la journée. C’est du moins ce qu’il ressentait.
Dimanche matin, l’équipe d’aviron de notre fils d’âge universitaire concourait près de chez nous dans le New Jersey où il était facile pour nous de regarder et de passer quelques minutes à rattraper son retard avant qu’il ne doive monter dans le bus et retourner au campus du New Hampshire. C’est à cinq heures de route en voiture, plus longtemps en bus. Mais il y avait une ride tentante.
Une fois la course terminée, l’entraîneur de notre fils a mentionné que les athlètes locaux pouvaient passer le reste de la journée avec leur famille tant qu’ils avaient un moyen de retourner à l’école, car l’autobus ne pouvait pas attendre. En effet, nous avions une voie, appelée aviation générale.
L’une des raisons pour lesquelles nous avons acheté « Annie », notre Commander 114B, était de raccourcir au sens figuré les distances entre nous et les membres de la famille et les amis que nous aimons visiter, dont beaucoup sont à des centaines de kilomètres et à une journée de route. Nous voulions passer plus de temps ensemble à destination et moins en transit. Et nous voulions que le transit soit plus amusant et satisfaisant. Annie s’en est certainement occupée. Chaque voyage est une aventure, jamais une corvée.
Mais le fait d’avoir notre fils aîné à l’université pour la première fois et de le manquer a beaucoup accru le sentiment d’urgence concernant la possession d’un avion. J’ai convaincu ma femme qu’avoir la possibilité de prendre l’avion permettrait des visites plus faciles et plus régulières. N’importe quel week-end pourrait devenir notre week-end spécial pour les parents, lui ai-je dit. Et un vol d’environ une heure et 15 minutes ne ronge pas la journée et ne vous épuise pas comme le ferait un trajet de cinq heures. De cette façon, l’avion est une machine à voyager dans le temps, produisant des minutes et des heures que nous n’aurions pas autrement.
C’est ce qui s’est passé dimanche. Nous avons ramené notre fils à la maison après les courses, sommes sortis déjeuner, avons rendu visite à des amis en ville et, vers 17 heures, nous sommes arrivés à l’aéroport. Nous avons décollé environ 30 minutes plus tard et, avec un vent de face, nous avons atterri à Lebanon, New Hampshire (KLEB) vers 7 heures. Si nous avions conduit à la place, nous n’aurions pas encore atteint Hartford, Connecticut, et nous aurions passé environ trois heures de plus. la route.
Et qu’en est-il du retour à la maison ? Nous aurions presque certainement dû passer la nuit dans le New Hampshire, ce qui aurait été un début perturbateur pour la semaine de travail. Mais en tant que propriétaires d’avions, ma femme et moi avons simplement ramené notre garçon au campus dans la voiture de l’équipage de l’aéroport, avons fait nos adieux et avons repris l’air vers 8h30 environ (longs adieux). Le commandant nous a fait économiser tant d’heures de voyage que nous avons pu faire nos valises en temps réel avec notre famille et nos amis, ce qui n’aurait pas été impossible autrement.
L’essentiel est que l’avion nous a donné la possibilité de passer toute la journée avec notre fils au lieu de seulement une heure ou deux à le regarder courir. À ce stade de la vie, de telles opportunités sont de plus en plus rares et précieuses.
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Monde/Appendices.,Référence litéraire de cet ouvrage.
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