Rex jette son chapeau en polaire sur le ring pour devenir le prochain opérateur aérien de la division antarctique australienne (AAD).
L’AAD cherche à regrouper ses opérations aériennes spécialisées sous un seul opérateur et recherche des capacités étendues, notamment un gros avion intercontinental, quatre turbopropulseurs intracontinentaux avec des skis, quatre hélicoptères bimoteurs pouvant opérer sur terre et sur navire, et une « mise à l’échelle significative ». up » de la capacité du système aérien sans équipage (UAS).
Actuellement, l’AAD voit des vols opérer pendant l’été entre Hobart et l’aérodrome de Wilkins en Antarctique, à 70 km de la station Casey, en utilisant un Airbus A319 (photo) loué et exploité par le fournisseur de services aéronautiques spécialisés Skytraders, qui détient le contrat depuis 2002.
Selon le chef de projet antarctique de Rex, Craig Martin, le programme nécessite un opérateur ayant une « connaissance approfondie de l’aviation sur toute une gamme de plates-formes ainsi qu’une excellence organisationnelle éprouvée dans l’exécution de missions spéciales ».
« Nous pensons qu’il n’y a pas de meilleur candidat australien que le groupe Rex avec son expertise dans l’exploitation d’une flotte de 150 avions dans chaque État, allant des Boeing 737-800NG, des avions de ligne Embraer E190, des turbopropulseurs De Havilland Dash 8-400, plus de 55 Saab 340 turbopropulseurs, l’une des plus grandes flottes d’avions Beechcraft King Air en Australie, et les jets Pilatus PC24 récemment introduits », a-t-il déclaré.
«Nous avons également une connaissance approfondie du travail de mission spéciale, ayant effectué des vols tactiques pour le ministère de la Défense pendant 20 ans ainsi que des services aéromédicaux spécialisés pendant plus de 12 ans en tant qu’opérateur d’ambulance aérienne sélectionné pour les gouvernements des États de la Nouvelle-Galles du Sud et Victoria, avec encore 10 années consécutives sur les deux contrats.
Rex dit qu’il a réuni un panel d’experts pour guider son offre, avec un processus d’appel d’offres qui devrait commencer en novembre.
« L’AAP a guidé la réponse de Rex à la RFI et passera les cinq prochains mois à préparer la solution optimale avant l’appel d’offres prévu en novembre de cette année », a déclaré la compagnie aérienne dans un communiqué.
« Rex a l’intention de diriger un consortium de partenaires industriels qui exploitera certains aspects du programme qui nécessitent une expertise plus spécialisée. »
L’AAD a été contacté pour commentaires.
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